Quand Gandhi ne pouvait fumer, eh bien il compensait par la nourriture. Comme il n'était aucunement l'heure de manger, Gandhi était aller quémander en cuisine de quoi manger. Avec son regard implorant de chien battu, on le fit vite rentrer. Seule deux cuisinières étaient présentes et elles étaien assez affairées comme cela pour s'occupper de lui, aussi avait il carte blanche et pouvait manger ce qu'il voulait.
Cela faisait longtemps que Gandhi n'avait rien avalé, un blocage l'empêchant d'engloutir quoi que ce soit. Aussi choisit il qelque chose d'assez simple pour commencer. Un bol de lait et quelques biscuits secs. Pas grand chose mais amplement suffisant pour le moment. d'ailleurs, après trois gâteaux il n'en pouvait plus. Gandhi était encore faible, très. Son regard était cerné et ses traits tirés, le rendant plus âgés qu'il ne l'est. Après avoir finit son bol de lait, l'adolesenct sombra dans un profond sommeil sans pouvoir lutter contre Morphée. Quand il se réveilla, le châle d'une des cuisinières était posé sur ses épaules nues mais toutes deux avaient disparues, Sûrement étais ce leur pause. Gandhi bailla et s'étira, puis resserra le châle contre lui en frissonnant. Il avait froid. Horriblemet froid. L'adlescent n'avait que pour seul vêtement un pantalon noir et le châle de la cuisinière, et la chaleur n'arrivait pas à pénétrer en lui. Le lait qu'il avait bu lui remontait dans la gorge, le menaçant de tout rendre immédiatement. Gandhi était brièvement agité de convulsions, qui lui arrachaient à chauqe fois un gémissement de douleur. Il posa sa tête sur la table et pria tout bas pour que tout s'arrête.