Personnage :
Prénom et nom : Amador Abt Steinmetz
Age : Dix neuf années
Rang : Elève
Race : Elfe de l'air
Animal de compagnie : Pas pour le moment...
Caractère : Ce petit être possède un caractère qui va de pair avec son physique. Timide et renfermé, il n’adresse la parole que si les autres font le premier pas vers lui, et n’a aucune initiative, préférant rester dans l’ombre que de se mettre en avant. Amador n’est pas fait pour être un leader ou autre, aussi semble-t-il un peu sot avec ses questions à la noix qu’il pose sans arrêt. Cette impression de sottise n’est en fait que la cause d’un jeune enfant qui ne sait s’exprimer, n’arrive pas à choisir les bon mots pour faire valoir ses idées, ce qui lui vaut la réputation d’avoir un quotient intellectuel d’un bulot à marée basse, bien qu’il soit en fait intelligent et capable de se servir de ses neurones. Toutefois son manque de confiance en lui le nuit gravement, et les autres individus ne sont pas intéressés par ce petit homme incapable de se comprendre soi-même, aussi est-il solitaire et se confie rarement, restant peureux avec les autres.
Ses coups de colère sont toutefois à craindre, car il peut se montrer violent, y allant bien souvent avec les poings, se servant rarement des mots. On aime toutefois son calme apparent, son rire cristallin. Amador n’aime pas que l’on lui reproche quoi que ce soit, et se confond souvent en excuses inutiles, craignant que par sa bêtise on ne le regarde de trop haut.
Physique : Un regard gris, couleur de la pluie, de la tristesse. Un regard mélancolique, empli d’une amertume qui jamais ne le quitte entièrement, en désaccord avec son sourire doux et chaleureux, gracieux et affectueux. Un large sourire qui brille comme le soleil, dispersant les nuages pluvieux de ses yeux, s’ouvrant sur des dents ivoiriennes largement écartées devant. Mais on appelle cette spécialité les dents du bonheur, alors n’est-ce pas le meilleur des présages ? Surplombant sa fine mâchoire se trouve un nez busqué bien présent dans son visage, bien que ce dernier ne soit point disgracieux. Surplombant ses grands yeux de la couleur du brouillard, lumineux et magnifique, de fins sourcils d’un blond si pâle qu’il en est blanc, tout comme sa chevelure. Reste seulement deux longues mèches noires sur le devant de son visage, qu’il a l’habitude de repousser derrière ses oreilles. N’oublions pas les nombreuses taches de rousseur qui s’amoncellent sur tout son corps, y compris son visage à la peau délicatement dorée, passant du marron le plus clair jusqu’à la couleur du café.
Amador n’est pas très grand par rapport à l’idée que l’on se fait des elfes avec son mètre septante, et sa carrure athlétique l’empêche d’avoir une silhouette aérienne comme tout elfe, et seules ses petites oreilles étrangement mobiles trahissent sont statut, pointant parfois timidement au travers de sa crinière des plus pâle. Ses muscles sont secs et bien formés, ses membres longs quoi qu’il paraît un peu court sur pattes, surtout qu’il aime s’habiller dans des vêtements informes la plupart du temps, privilégiant habits larges et sombres pour pouvoir mieux se camoufler dans la masse et éviter d’ainsi attirer le regard avec des couleurs trop vives ou des bijoux clinquants. Il ne possède aucune caractéristique, si l’on excepte ses tâches de rousseur, et aucune blessure n’est notable sur son corps à première vue, car l’adolescent les camoufle bien, ou serais-ce la main de son agresseur qui l’a voulu… Toutefois, s’il aime ne pas se faire remarquer, une fois que l’on a croisé son regard, on ne peut s’en détacher.
Histoire : Amador est né dans un pays en guerre. Sa famille, noble, aristocratique, fut pleinement impliquée dans la politique du fait du statut de ses parents, qui furent tout deux meneurs d’une révolte contre un pouvoir peu démocratique, qui ruinait le pays et se souciait peu du peuple. Bien sûr, tout cela Amador n’en avait pas conscience, et s’amusait dans le jardin de ses parents à mimer les policiers tirant sur la foule ou les manifestants jeter des pierres sur les représentants de l’ordre. Tout cela lui échappait complètement, jusqu’à ce que son père fut envoyé en prison, et les biens de sa famille saisis. Le choc fut dur pour lui, passant du luxe à la misère du jour au lendemain, avec sa mère et ses trois sœurs. A présent, fini les petit plats, et sa mère s’obligeait à faire bouillir de l’eau dans une marmite pour faire croire aux voisins qu’elle avait de quoi nourrir ses enfants. Très tôt, à ses douze ans, Amador décida d’aider sa mère à tenir le foyer. Le travail fut difficile pour lui, enchaînant petits travaux par ci et par là, toujours sous-payés. Mais qu’il était heureux quand il ramenait quelques pièces ! Bien qu’ils n’avaient pas toujours du pain sur la table, c’était déjà mieux. Dehors, la guerre continuait, les morts se faisaient plus nombreux, et les cheveux de sa mère grisonnaient chaque jour un peu plus. A voir ainsi sa mère dépérir sans pouvoir y faire quoi que ce soit, Amador se renferma sur lui-même, ne parlant que rarement. Surtout que ce dernier faisait penser à son père, étant elfe de l’air, alors que le reste de sa famille était du soleil.
Ses sœurs apprirent à manier leurs pouvoirs auprès de leur mère, étant du même élément, et elles étaient si douées que l’une d’elle, ayant à peine neuf ans, devint un ange. Amador lui, était empoté et ses pouvoirs stagnaient, aussi sa mère et ses sœurs prirent la résolution de l’envoyer dans une école réputée. Maëlawys. L’elfe eut beau protester, rien n’y changea. Ses sœurs avaient l’âge de travailler à présent, et leur situation se stabilisait. Leur mère gagnait mieux sa vie, mais toutefois Amador demanda a rester une année de plus, requête qui fut acceptée. Mais si à présent ils avaient trois repas par jour, sa mère se faisait de plus en plus faible, et finit par décéder, le sourire aux lèvres. En fouillant dans les tiroirs de sa chambre, Amador trouva une lettre qui brisa tout espoirs des quatre enfants. Cela faisait à présent plus de quatre ans que leur père était décédé. Ils furent donc confiés à un orphelinat. Amador avait alors seize ans. Là bas, la vie fut dure, et l’elfe, ne sachant s’imposer, en bavait, et se sentait extrêmement faible par rapport à ses sœurs qui s’en sortaient facilement. Alors il décida d’aller à l’école que sa mère lui avait indiquée, là ou ses parents s’étaient rencontrés, là ou sa mère apprit tout ce qu’elle savait. Peut être qu’ainsi, il serait plus fort et pourra à l’avenir protéger les personnes qui lui sont chères…
Pouvoir spécial : * Lire dans les pensées et connaitres les humeurs d'autrui
Hors-personnage :
Avez-vous pris un avatar du libre-service du forum, si oui quel est son numéro et sa race ? Nop n_n
Comment avez-vous connu Maëlawys ? Heu... Bonne question...